Google serait donc prêt à prendre sa revanche sur Siri mais surtout sur la firme californienne. L’ « Assistant » se nommerait Majel, en hommage à l’actrice Majel Barrett-Roddenberry qui a prêté sa voix à l’ordinateur pilotant le vaisseau Enterprise Actions, et il permettrait déjà d’envoyer un SMS ou un email, de contrôler le lecteur audio, de rédiger une note, de lancer un appel téléphonique ou encore d’effectuer une recherche sur Internet ou sur Google Maps.
En effet, contrairement à Siri qui fonctionne en combinant la reconnaissance vocale et l’analyse sémantique, « Google Assistant » serait capable de comprendre les questions de l’utilisateur dans le but de répondre au mieux à ses attentes. Afin de maximiser les résultats et les rendre plus personnels, le « Google Assistant » se baserait sur les informations du réseau social Google+ ou à l’usage du bouton +1.
Une équipe Android travaille sur le projet, leurs travaux auraient pour but de s’articuler autour du web sémantique.
Toujours d’après TechCrunch, l’outil est censé être plus performant que Siri. Le but réel de la reconnaissance vocal chez « Google Assistant » ne se contenterait pas de renvoyer des résultats de recherche, mais d’ « accomplir des tâches utiles dans la vie réelle ».