Toute cette histoire débute lorsque le gérant d’une société basée à Lyon décide de taper son nom dans Google afin de voir ce qu’il en ressort. Et surprise, puisque le moteur de recherche propose dans ses suggestions le terme « Escroc » accolé au nom de la société du plaignant !
Ni une, ni deux, ce dernier s’estime floué et décide d’entamer une procédure judiciaire à l’encontre du géant Google. Heureusement pour la victime, Google a bel et bien été condamné à retirer le terme « Escroc » de ses suggestions, mais aussi à publier 7 jours durant une publication judiciaire en page d’accueil française du moteur. On se croirait presque dans un journal people !
Pourtant, Google avait tenté de s’expliquer en soulignant le fait que ces suggestions étaient automatisées et qu’il n’était pas possible d’y faire grand-chose. Une excuse rapidement démontée par la défense qui a prouvé que Google intervenait aussi manuellement sur certains thèmes et que cela était donc tout à fait possible.
VOIR AUSSI
Carole Bartz, la PDG de Yahoo! démise de ses fonctions
Google + : le concurrent de Facebook doit suspendre les invitations