« Palladio », le titre original de « La fabrique des illusions », est le nom d’une agence de pub révolutionnaire créée par le gourou visionnaire Mal Osbourne. Son objectif : tuer la publicité et sauver la création. John Wheelwright est un jeune publiciste talentueux. Repéré par Osbourne, il va se lancer dans l’aventure avec lui et s’absorber dans cette tâche gigantesque jusqu’à ce que Molly Hewe, son étrange amour de jeunesse réapparaisse.
John, Molly, Mal Osbourne, trois trajectoires entrecroisées que Jonathan Dee tisse avec brio pour nous plonger dans l’Amérique des années 1980-1990, un monde pris dans l’engrenage de la pub, cette « fabrique des illusions », mère de la désillusion des décennies suivantes.
Dans une interview donnée à notre partenaire MyBOOX, l'auteur partage sa vision de l’art américain, aujourd’hui envahi par l’esthétique et l’esprit de la publicité. Une contamination qui commence déjà à toucher, selon lui, d’autres domaines, de la politique à la vie privée. Découvrez-la en vidéo :
Crédit photo : Dennis Shannon
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