Patrick révèle non seulement « être de gauche, c’est très compliqué » comme le titre le Figaro, mais aussi qu’il a plus de 52 ans. Mis à part ces propos insignifiants, Patrick Bruel parle de la sortie de la suite de « P R O F », plus de vingt-cinq ans avant le premier volet.
Il consacre quelques lignes à DSK, au foot, à la musique, au cinéma et sa rencontre avec François Mitterrand. « Ma sensibilité a toujours été de gauche mais, être de gauche, aujourd'hui, c'est très compliqué. Ou juste triste. Ça ne veut plus dire grand-chose… La gauche de ces dernières années m'a souvent déçu et peu intéressé. Mais savait-elle elle-même ce qui l'intéressait? À part être anti-sarkozyste, quel a été son cheval de bataille? » répond-t-il au journaliste Claude Askolovitch qui lui pose des questions sur ses orientations politiques.
Il avoue cependant n’avoir pas pu voter Ségolène Royale, la trouvant trop ridicule. Une idée de cadeau de noël ? Peut-être pas tout de même.
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