Merci pour ce moment, le livre de confidences de Valérie Trierweiler sur sa relation intime avec François Hollande pourrait l’emmener tout droit devant la justice. En effet, Closer a fait savoir qu’il comptait traîner l’ex-première dame devant le tribunal. Et pour cause, en mars et juin dernier, le magazine people avait été condamné pour atteinte à la vie privée et au droit à l'image pour avoir écrit non seulement que l'ex-compagne du président français vivait avec un esprit de revanche mais aussi qu’elle avait revu le chef de l'État après leur séparation en janvier. Pour ces écrits, Closer avait été contraint de verser la modique somme de 19 000 euros.
Or, depuis la parution de Merci pour ce moment, le magazine estime que l’esprit de revanche est avéré, tandis que la tenue des rencontres entre Valérie Trierweiler et le président après leur rupture est désormais établie. Résultat, selon une une source proche du dossier, dont rtl.fr rapporte les propos, « la société Mondadori Magazines France, qui édite Closer, réclame un euro de dommages et intérêts, ainsi que le remboursement de ses frais de justice ».
Valérie Trierweiler, quant à elle, a indiqué à l’AFP ne pas avoir été informée des intentions de Closer.