Invitée le 19 mars dernier dans « La parenthèse inattendue » de Frédéric Lopez avec Patrick Poivre d'Arvor et le chef Georges Blanc, Hélène de Fougerolles s’est confiée sur son enfance nomade vécue avec (et surtout sans) une mère hippie et collectionneuse d’hommes.
« Quand j’avais trois ans, elle s’est séparée de mon père et nous a un peu laissées [sa sœur et elle ndlr.] avec ma grand-mère. Ma mère a décidé de vivre en communauté à La Garenne-Colombes, c’était les années 1970, ça fumait, ça prenait des champignons… », a expliqué l’actrice.
« À 9 ans, ma mère a rencontré quelqu’un d’autre et a décidé de tout quitter et de partir en Guadeloupe, j’ai donc vécu un an là-bas. Finalement elle l’a largué, on est revenues en France. Elle nous a collées chez la grand-mère, elle pouvait ne pas téléphoner pendant trois mois », a-t-elle poursuivi.
Beaucoup plus émue mais toujours philosophe et sans rancune, Hélène de Fougerolles a ensuite évoqué son oncle : « Chez ma grand-mère il y avait notre oncle, son fils. Qui était alcoolique et qui était violent… C’était pas très agréable comme ambiance. J’en voulais à ma mère de vivre sa vie et de nous laisser avec ce type atroce. Ma grand-mère se cassait régulièrement quelque chose. En fait il lui tapait dessus pour avoir de l’argent », a raconté celle qui s’est fait enlever son fameux grain de beauté au-dessus de la lèvre il y a quelques années (« Je ne supportais plus ma marque de fabrique », confiait-elle à Gala en 2012).
Hélène de Fougerolles sera ce 14 janvier sur France 2 dans Accusé, la nouvelle série inédite de France 2.