Il ressort d’une étude de la Carnegie-Mellon University que la performance d’une équipe a peu à voir avec le QI des individus qui la composent. Elle dépendrait avant tout d’un même niveau d’implication et de participation des membres, créant ainsi des interactions productrices d’intelligence. Cela dépendrait aussi de la « sensibilité sociale » des individus, c’est à dire leur capacité à percevoir les émotions des uns et des autres, plus développée chez les femmes que chez les hommes. Ainsi, les groupes comprenant plus de femmes tendent à avoir une intelligence collective plus élevée. Une découverte qui ne devrait pas manquer d’intéresser le monde du travail.
Françoise Aveline
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