Les travailleurs britanniques ne souhaitent plus voir les jambes de leurs collègues, ou tout autre attribut féminin dévoilé par des vêtements trop sexy. L’enquête a été menée par la British Heart Foundation, et donne des pourcentages précis sur chaque tenue incriminée. Ils sont par exemple 32% à juger les mini-shorts inappropriés sur un lieu de travail, au même titre que les impressions léopard, qui devraient être interdites selon 30% des hommes interrogés. Ces messieurs se montrent un peu plus indulgents face au décolleté de leurs collaboratrices : 24% souhaiteraient voir cachés ces seins qu’ils ne sauraient voir. Les minijupes sont aussi en ligne de mire, jugées indécentes par 24% des sondés, ainsi que les tops transparents, qui embarrassent 27% des hommes.
Loin de militer en mini-robe léopard décolletée et toute en transparence, les femmes interrogées sont d’accord avec ces messieurs, et jugent que les vêtements trop sexy devraient rester au placard les jours de bureau. 67% d’entre elles s’accordent à condamner le port du short en milieu professionnel. Même son de cloche pour la minijupe, jugée trop scandaleuse pour aller travailler par 52% des sondées.
La penderie de ces dames n’était pas la seule à être l’objet d’une inquisition du sexe opposé. L’étude britannique a en plus permis aux femmes de dénoncer les faux-pas vestimentaires de leurs collègues : t-shirts avec slogan et cravates « comiques » en tête.
Victoria Houssay
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