Si certains motifs de licenciement sont justifiés, d’autres nous laisse parfois sans voix. Le Huffington Post américain révèle ainsi les neuf les plus incroyables. Florilège.
Tomas Lopez est sauveteur en mer. Ainsi, n’a-t-il pas hésité à voler au secours d’une personne en difficulté. Mais, cette opération –réussie !- lui a valu d’être licencié au motif qu’il avait ainsi abandonné la partie de la plage dont il avait la responsabilité.
Ses déclarations sont accablantes. Rachel Welsh, ex-collaboratrice de Barclays, affirme avoir été licenciée par son entreprise parce que son fils était atteint d’un cancer. Elle a ainsi déclaré au Huffington Post que « la banque craignait que ses nombreuses visites à l’hôpital entravent son travail ».
Dans la cafétéria où elle travaillait, Dianne Brame a remarqué un écolier qui ne mangeait jamais le midi. Elle a donc décidé de lui offrir quelques repas avant d’être mise à la porte. Heureusement, après des protestations musclées pour contester son licenciement son patron a cédé et l’a réembauchée.
Jusque-là, son action était passée inaperçue. Mais après s’être prise en photo en train de diriger un doigt d’honneur vers ses clients, Tatiana Kozlenko, hôtesse de l’air, l’a postée sur le web. Mauvaise idée, elle a été licenciée.
Le hit du moment sur le net ? Le Harlem Shake, une vidéo loufoque montrant un groupe de personne déguisées dansant sur une musique dédiée. Un groupe de mineurs a lui aussi voulu s’y frotter… sur son lieu de travail. S’ils ont connu le succès escompté sur le Net, les 15 « shakers » se sont fait virer.
Devin McClean pensait sûrement avoir la gratitude de son employeur, il a eu une notification de licenciement. Alors qu’il venait de démasquer un voleur qui s’apprêtait à cambrioler son magasin, son supérieur l’a renvoyé au motif qu’il avait utilisé son propre pistolet.
Un directeur général après la réélection d’Obama a affirmé : « Les élections avaient des conséquences, c’était un fait », avant d'expliquer que lui aussi devait « survivre ». Résultat, 22 de ses collaborateurs sur les 144 qu’il employait ont été licenciés.
Ces huit salariés de l’Indiana University Health Goshen Hospital n’ont pas eu la grippe, mais ont été renvoyés. La raison ? Leur refus d’être vaccinés contre cette maladie, une obligation imposée par leur employeur.
« J’ai donné à Dieu 10%, pourquoi vous, vous en recevriez 18% ? ». Voilà le mystérieux message qu’a reçu une serveuse américaine, à la place de son pourboire, sur l’addition d’un de ses clients. L’employée a voulu partager son désarroi sur un forum, montrant la note de la discorde, et a reçu pour toute réponse un préavis de licenciement.
Les 13 motifs de licenciement les plus courants
Prada : une salariée licenciée à cause de son poids perd son procès
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