Flemme, paresse, manque de temps, pure procrastination : les raisons de nos retards au travail semblent toutes trouvées. Et pourtant, une infographie réalisée par la société Attask, spécialisée dans les solutions de management de projet, dresse un tableau très instructif sur les profils des salariés qui plombent la productivité des entreprises. Des flemmards et des paresseux ? Certes. Mais pas seulement. Leur petite analyse révèle que nombreux sont vos collègues qui retardent vos projets et sabordent votre travail et elle les classe dans huit catégories de « salariés zombies », à savoir ceux qui passent leur temps à mettre des bâtons dans les roues de l’organisation. Passage en revue des pires cas de cette espèce.
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En tête de classement, on retrouve les salariés qui estiment qu’ils sont trop sous-staffés pour effectuer correctement leur travail. « Nous sommes trop peu sur le projet, donc je n’avance pas », voilà leur crédo qui plombe immanquablement la productivité d’une boîte. Résultat : 40% des salariés avouent ne pas respecter les deadlines qui leur sont imposées. A quoi les reconnait-on ? Ils frôlent le burn out à force de cumuler les heures supplémentaires et se promènent hagards dans l’open-space, à la recherche désespérée d’un collègue à qui ils pourraient déléguer quelques missions.
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Les chiffres ne mentent pas : 13% des employés usent du mensonge pour s’en tirer au travail. Pour dissimuler leurs erreurs, pour justifier leurs retards, ces dangereux collègues sont dans le déni et ne reculent jamais devant un petit mensonge pour se tirer de la panade. Pas moins de 7% des employés avouent par ailleurs ne pas hésiter à gonfler les chiffres de leurs résultats pour impressionner leurs managers. Et derrière, ce sont les collègues qui ramassent les pots cassés.
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Réaliser le travail demandé, cela semble certes être le minimum, mais encore faut-il connaître et maîtriser les process de l’entreprise. Or il s’avère que 64% des salariés confient ignorer les process à suivre pour mener à bien leurs projets et procéder donc à leur sauce. A ce rythme, pas étonnant que lesdits projets mettent du temps à avancer…
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