Contrairement à ce qu’on pourrait penser le réchauffement climatique entraine aussi une baisse des températures à l’origine d’hivers plus froids, plus longs et plus rudes dans les continents du nord comme l’Europe. Une conséquence directe de la hausse moyenne des températures à échelle mondiale (une hausse qui pourrait atteindre 5 à 6 degrés d’ici la fin du siècle).
On le constate vivement depuis mi-mars : chutes de neige qui n’en finissent plus, coupures d’électricité, aéroports paralysés, bref une vague de froid sans précédent bouscule l’Europe et l’Amérique du Nord. Il s’agirait là d’un refroidissement temporaire, au sein d’un réchauffement global.
Bien que les météorologues et autres scientifiques ne s’accordent pas tous sur les causes de ces hivers atypiques la fonte de la calotte glaciaire arctique est vivement montrée du doigt. Etant à l’origine d’anomalies dans les courants atmosphériques.
Nos hivers seront-ils plus froids dans un monde plus chaud ?