Dans la nuit du 21 au 22 mai, les affiches PrimaDonna ont été enlevées des abribus belges, la rumeur s'est emparée de l'évènement : le retrait anticipé serait la conséquence d'une série d'accidents de la route, provoqués par des conducteurs distraits par la vue du fort joli décolleté.
Le bruit viendrait de la page Facebook de la firme, alors que beaucoup s'émerveillent de la « belle perspective » de la photo, un fan, bien inspiré par l'apophtegme de la campagne « Merci Prima Donna », a commenté: "J'ai déjà failli me planter trois fois la gueule cette semaine à vélo. Merci, PrimaDonna".
Il se murmure également que de nombreux automobilistes auraient, par manque d'attention, ocasionné quelques chocs de carrosseries.
Interrogée par le journal Le Soir, la chargée des relations publiques de la société, Anne Van Coppenolle, déclare amusée: « Nous n'avons pas eu d'échos de ce genre de mésaventures mais c'est tout à fait possible »
Si, interrogé, le Jury d'Ethique Publicitaire, admet avoir enregistré le dépôt d'une plainte contre le dazibao de lingerie, il ne peut en dire plus, la motivation et l'identité du plaignant resteront secrets, c'est statutairement une obligation.