1. Jean-Luc Lahaye : En déclarant dans « Voici » : « Eh oui, je préfère sortir avec une femme de 20 ans plutôt qu’avec une de 60, évidemment», l’ex-star 80 franchit une nouvelle fois la haie d’honneur avec brio, nous rappelant qu’il y a peu, il s’était attaqué à l’animatrice Enora Malagré en lui promettant sa « fessée ». La raison ? Elle avait ricané lorsqu’il avait déclaré : « Je ne me tape pas des grands-mères ». Cette semaine, il en profite pour en remettre une couche par médias interposés en la comparant à une « gogo danseuse payée au bouchon ». Classe, Jean-Luc.
2. Patrick Balkany : celui qui s’était vanté dans son livre d’avoir honoré notre BB nationale (laquelle a démenti avec mépris) n’a pas l’air de trouver madame Bachelot à son goût. Il a en effet déclaré qu’elle n’était « pas mise à son avantage dans ses robes où elle est boudinée sur son petit banc où on voit toutes ses formes » dans son émission Le Grand 8. C'est vrai, l’attaque physique, c’est toujours très chevaleresque, Patrick… Heureusement, Roselyne, avec le répondant qu’on lui connaît, l’a à son tour traité de « beauf ». 1 partout.
3. Les écoliers : en définissant la femme comme « une maman, une mamie ou une jeune fille (qui) peut porter des bijoux, des jupes et des robes et a de la poitrine », nos propres enfants font leur entrée en 3e place avec leur dictionnaire numérique, qui partait pourtant d’une bonne intention. Najat Vallaud-Belkacem est, depuis, sur le front pour recadrer tout ce petit monde. Courage, Najat !
4. Dominique Desseigne : assigné en justice par Rachida Dati pour reconnaissance en paternité, le sexygénère aurait refusé de s’y soumettre… livrant au passage, par le biais de son avocate, une liste des huit amants que « la dame » aurait eu simultanément au moment de la conception de l’enfant. Un geste de très grande élégance. Quant à appeler « la dame » une ancienne conquête, on apprécie toujours…
5. Nicolas Bedos : habitué du tableau d’honneur (rappelons que le gentilhomme cathodique avait traité de « pute » une jeune spectatrice qui l’interrogeait), le « journaliste mythomane » s’en prend une nouvelle fois à Tristane Banon, « fragile Tristane, retardataire lacrymale » dans Marianne, sous-entendant au passage qu’elle était anorexique. Dans un billet publié sur L’Express.fr, la « romancière convalescente » n’a pas tardé à répondre à son agresseur avec panache. Avant la prochaine attaque ?
Sans rancune, messieurs.
En revanche, sachez-le, Terrafemina mettra à jour son machomètre chaque semaine, traquant les (trop nombreuses) sorties de pistes de nos personnages publics. Car nous, les femmes, le savons bien : rien ne vaut un bon passage au coin devant toute la classe pour bien retenir la leçon. A moins que Jean-Luc préfère une petite fessée ?
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