Toujours sous le choc, Michel Polnareff a décidé de raconter son histoire à la presse, après avoir fait part de la nouvelle à ses à ses fans sur son profil Facebook.
Volodia, né en décembre dernier, n’est donc pas son fils. Danyellah, sa compagne et mère de l'enfant, le lui a avoué après que le chanteur eut insisté pour faire un test de paternité. Dans cette interview, « l’Amiral » fait part des signes avant-coureurs présageant cette nouvelle : « J'avais trouvé bizarre qu'on soit si pressé de me faire signer un papier où je déclarais être le père, ce dont je ne doutais nullement. Plusieurs réflexions dont je n'ai pas souvenance ont déclenché une sonnette d'alarme, et au lieu de signer ce contrat standard, j'ai fait une demande de paternité accompagnée d'un test ADN. Danyellah s'est immédiatement opposée à cette épreuve », souligne-t-il. Puis, « devant ma détermination de faire ce test, elle s'est écroulée en larmes et, sachant que la triste vérité éclaterait, elle m'a avoué que je n'étais pas le père et qu'elle avait fait appel à un donneur. J'ai immédiatement quitté la maison ».
Danyellah a donc en effet fait appel à un donneur de sperme pour concevoir le bébé, alors que Michel Polnareff n’est pas stérile. Pourquoi un tel acte ? Michel Polnareff n’a pas de réponse : « Elle sait parfaitement que je ne suis pas stérile donc pourquoi avoir besoin d'un soi-disant donneur pour avoir un enfant ? », s’interroge-t-il. Il ne souhaite d’ailleurs plus y penser, ni à sa femme, ni à Volodia, qu’il a pourtant mis au monde sans sage-femme, et à qui il a donné un prénom qui lui tenait à cœur. Il rapporte notamment qu’il a demandé à Danyellah de changer le nom du bébé car il avait choisi ce prénom en accord avec le nom « Polnareff » : « J'ai envoyé un SMS à Danyellah où je lui ai demandé de trouver un autre prénom, étant donné qu'il ne se conjugue pas avec son nom de famille, typiquement français. Elle m'a répondu O.K. ». L’Amiral souhaite donc tirer un trait sur sa femme et le bébé dont il pensait être le père, et qu’il a choyé pendant quelques semaines : « Je dois, pour ma santé personnelle, me détacher de cette situation. J'essaie d'oublier ce petit être dont j'étais si fier d'être le père, mon premier bébé !!! ».
Une déception qui ne fait malgré tout pas perdre espoir à Michel Polnareff, qui souhaite toujours avoir un enfant, à l’aube de ses 66 ans. Il affirme en effet « plus que jamais » vouloir un enfant, « un VRAI Volodia »...
VOIR AUSSI
Polnareff l'annonce sur Facebook : "le bébé n'est pas de moi."