Aujourd’hui, on ne sait toujours pas qui de Valérie Trierweiler ou Julie Gayet, baptisée « la deuxième dame » par les internautes, accompagnera François Hollande pour le reste de son mandat. En revanche, le magazine Elle, qui fait sa une sur l’actrice jusque là très discrète, ainsi que le Grazia, dont la journaliste Anna Borrel a longuement enquêté, apportent de nombreuses précisions quant à leur rencontre et l’évolution de leur histoire.
Ainsi apprend-on dans Elle que ce serait sous « l’impulsion » de Thomas Hollande, le fils du Président et de Ségolène Royal, que l’actrice Julie Gayet et son père se seraient revus de manière plus intime que lors de sa campagne, dont elle fut un fervent soutien. En effet, proche de la chanteuse Joyce Jonathan, compagne de Thomas, Julie Gayet aurait été poussée par son amie à parler cinéma avec celui qu’elle dit aujourd’hui « incollable ». Après cette rencontre, l’actrice aurait ainsi confié à une amie « avoir rencontré un homme plus âgé, très différent de ses anciens compagnons, dans la politique », toujours selon Elle.
Passionnée de politique et élevée dans un environnement très engagé (son grand-père est compagnon de la Libération), la jeune femme est immédiatement séduite par celui qu’elle juge « humble » et… « formidable ». Selon Grazia, l’idylle aurait ensuite suivi son cours jusque cet été où l’on vit Valérie Trierweiler seule en Grèce alors que François Hollande devait se rendre en Corrèze visiter Jacques Chirac. Pourtant, il aurait en réalité assisté ce jour-là au concert d’Olivia Ruiz, autre proche de Julie Gayet, qu’il aurait rejointe dans les coulisses. Le lendemain, le duo aurait fait ensemble le marché, photographié par des journalistes régionaux qui auraient choisi de ne pas publier les clichés. Est-ce à dire que le Président prenait alors, consciemment ou non, de gros risques en s’affichant ainsi avec celle dont le tout Paris parlait déjà en catimini ? Il semble bien puisqu'il se serait également rendu sur le tournage des « Ames de papier », film dans lequel l’actrice donnait la réplique à Pierre Richard et Stéphane Guillon, l’un des premiers à évoquer au grand public l’«affaire » sur le plateau du Grand Journal.
Aujourd’hui hospitalisée à la Pitié-Salpétrière pour une durée indéterminée, Valérie Trierweiler serait prête à pardonner, selon Le Parisien. Pourtant, il semblerait que François Hollande ne lui ait pas rendu visite, du moins les trois premiers jours. Sera-t-elle du voyage à Washington dans trois semaines ? Le président l’a promis hier en conférence de presse, la situation sera clarifiée d’ici là. Assistera-t-on au spectacle d’un président français débarqué aux Amériques en solo, encombré de ses problèmes de couple connus de tous, comme ce fut le cas de Nicolas Sarkozy lorsqu’il dut rejoindre Georges Bush seul après une colère homérique de Cécilia ? Possible…
A moins que le scénario de cette histoire « abracadabrantesque », pour reprendre un terme cher à l’autre Corrézien, ne connaisse un nouveau rebondissement. Da-llaaaaas...