Vendredi dernier, le magazine Closer publiait un dossier spécial de sept pages sur une relation supposée entre François Hollande et l’actrice Julie Gayet. Le jour même, Valérie Trierweiler était hospitalisée pour une durée indéterminée pour un « coup de blues ».
Mercredi 15 janvier, Le Canard Enchaînée révélait que la première dame a été hospitalisée pour un peu plus qu’une petite déprime. Selon le quotidien, Valérie Trierweiler aurait été victime d’un véritable craquage nerveux suite aux révélations de Closer. François Hollande aurait été contraint d’avouer sa relation avec Julie Gayet à sa compagne officielle, laquelle a ensuite confié à Pierre-René Lemas, le secrétaire général de l’Élysée, être « humiliée devant la France entière ». « Rentrée dans son bureau, elle a piqué une véritable crise de nerfs », a raconté un des proches de Valérie Trierweiler au Canard Enchaîné.
Également appelée « état d'agitation aigüe », la crise de nerfs découle souvent d'une détresse psychologique et survient brutalement. Elle se traduit par des cris, voire des hurlements, des pleurs, une angoisse massive et des propos incohérents. Impressionnante et parfois dangereuse pour la victime de la crise et pour son entourage, elle nécessite une intervention médicale, détaille le site Santé médecine. Selon Le Canard Enchaîné, le médecin de l’Élysée aurait en effet été convoqué et aurait pris la décision d'hospitaliser Valérie Trierweiler à la Pitié-Salpêtrière.
La première dame « prend tout de face, sans recul », analysait récemment pour Terrafemina Nadia Le Brun qui est l'auteure d'une biographie de Valérie Trierweiler. « Sur-émotive, elle se laisse déborder par ses sentiments ». Selon elle, la première dame est une femme colérique, qui « peut devenir ingérable dans ses moments de faiblesse et il faut s’attendre à un coup d’éclat. « Dès qu'elle ira mieux, elle lui rendra coup pour coup. Elle ne va pas laisser ça là. Valérie Trierweiler n'est pas quelqu'un qu'on peut manœuvrer. », a précisé Nadia Le Brun au Figaro.