La compagne du chef de l’État Valérie Trierweiler est toujours hospitalisée à la Pitié-Salpêtrière. Selon Le Canard Enchaîné, cette mesure fait suite à une crise nerveuse dont elle aurait été victime après les publications de Closer sur une prétendue relation entre François Hollande et Julie Gayet. Et sur son cas, les sources se multiplient et se contredisent beaucoup. Seul point sur lequel la presse s’accorde : François Hollande n’a pas rendu visite à sa compagne.
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Selon une exclusivité Voici, parue en kiosque ce vendredi, Ségolène Royal aurait en revanche rendu visite à Valérie Trierweiler à l’hôpital jeudi 16 janvier dans la soirée. Selon les informations du magazine, l’ancienne candidate à la présidentielle aurait été envoyée par François Hollande auprès de Valérie Trierweiler « pour jouer les intermédiaires et faire accepter à Valérie Trierweiler une rupture qui semble inéluctable », Valérie Trierweiler refusant de voir le chef de l’État en personne.
Autre son de cloche chez RTL où l’on assure qu’Hollande n’a pas rendu visite à Trierweiler parce que les médecins le lui interdisent, « une pratique répandue dans les cas de détresse psychologique ». Le chef de l’État aurait cependant rencontré l’équipe médicale et envoyé des fleurs et des chocolats à sa compagne.
On peut en tout cas s’étonner de cette visite de la première compagne de François Hollande à Valérie Trierweiler. Depuis l’affaire du tweet de soutien à Olivier Falorni, les deux femmes sont en effet ouvertement en guerre. En mars 2013, les choses semblent pourtant se tasser. Ségolène Royal déclare qu'elle « pardonne » à la compagne de François Hollande, mais qu’elle « n'oublie pas ».
Plusieurs mois plus tard, Valérie Trierweiler aurait essayé de chercher de l’aide auprès de sa rivale de toujours, après avoir senti que François Hollande lui échappait, révélaient récemment deux journalistes de Grazia. « Dans une tentative désespérée, elle a tenté, par le truchement d’amis communs, de convier Ségolène Royal. Pour faire la paix, pour comprendre aussi peut-être, ce qui lui arrive », révèlent Anna Borrel et Stéphanie Marteau.
Ségolène Royal aurait-elle finalement décidé de répondre à cet appel au secours ? Ou sa visite était celle d’une ex « qui n’oublie pas » ?
Cités par Le Parisien, des proches ont démenti cette visite de Royal à Trierweiler. « C’est faux, c’est grotesque », insiste l'un d'entre eux. Même démenti de la part du chef de cabinet de Valérie Trierweiler :
V. Trierweiler et S. Royal ne se sont pas rencontrées hier soir à la Pitié Salpétrière contrairement à ce qu'affirme @voici. Nouvelle rumeur
— Patrice Biancone (@Biancone2) 16 Janvier 2014