Les rumeurs courent et enflent depuis que Valérie Trierweiler, au repos à La Lanterne, n’a plus communiqué sur son état de santé, pas plus que l’Elysée ou le Président, lequel s’est contenté d’un laconique « elle va mieux » lors de sa conférence de presse aux Pays-Bas mardi dernier.
Pourtant, selon le magazine Closer- sorti un jour plutôt -, qui avait révélé la supposée liaison entre le Président et l’actrice Julie Gayet, on voudrait « faire taire » Valérie Trierweiler. A La Pitié-Salpêtrière, déjà, où elle est restée hiospitalisée plus d’une semaine, le nombre de ses visiteurs aurait été très réduit, selon les ordres de son médecin qui jugeait son état trop sérieux pour recevoir ne serait-ce que la visite de Léonard Trierweiler, son benjamin. Quant au président, s’il n’a pu rendre visite à sa compagne que le 16 janvier, il lui aurait cependant envoyé « des fleurs et des chocolats »…
A l’annonce par François Hollande de la parution imminente du magazine puis la confirmation sur ce qui y était révélé (toujours selon Closer, celui-ci aurait confirmé : « Tout ce qu’a écrit Closer est vrai »), Valérie Trierweiler aurait piqué une véritable crise de nerfs, sans toutefois s’attaquer au Mobilier national, lequel aurait eu à déplorer quelques 3 millions d’euros de dégâts ainsi qu’une rumeur l’avait relayé il y a quelques jours sur Internet.
Cependant, l’entourage du président serait inquiet. Selon eux, la journaliste pourrait causer beaucoup de tort à François Hollande, en témoigne l’affaire du tweet du début de son mandat. Selon Closer, « l’Elysée le sent, François Hollande le sait : dès que lui reprendra l’envie de tweeter, dès qu’elle sortira de cette situation, Valérie Trierweiler sera une grenade dégoupillée. » La grenade appréciera…
Pour l’heure, il semblerait qu’elle ait pu malgré tout conserver l’un de ses portables, refusant de les remettre tous à une « amie » qui le lui avait demandé. C’est de ce portable que la première Dame distillerait quelques infos à un ami proche et grand reporter dans un quotidien national. Recluse à La Lanterne sous la surveillance de chaque instant d’un médecin militaire et d’une amie proche, elle ne souhaiterait qu’une chose, rejoindre rapidement l’Elysée et, selon certains, accompagner son compagnon à Washington le 11 février prochain.
Le couple viendra-t-il recoller ses morceaux chez les Obama ? Le Président viendra-t-il seul ? La Maison Blanche attend toujours de pouvoir valider son plan de table, et le Président Obama de savoir qui mangera à son côté…