Dans un article mis en ligne jeudi 23 janvier en fin d'après-midi sur le site Internet du Figaro, l'avocate de Valérie Trierweiler assurait que « quelle que soit la décision du couple, [sa cliente] souhaite réellement que toute cette affaire puisse se résoudre pour en sortir le plus dignement possible », laissant entendre qu'une séparation est à l'ordre du jour. Des propos démentis le même jour, dans la soirée, par la première dame au micro d'Europe 1.
« Elle a parlé sans savoir et sans être mandatée. [...] Elle n'est plus mon conseil », a déclaré Valérie Trierweiler à propos de Me Giffard. Patrice Biancone, le directeur de cabinet de la compagne officielle de François Hollande, a tenu à clarifier la situation chez BFMTV. « Il n'y a qu'une seule personne mandatée au nom de Valérie Trierweiler, c'est moi », a t-il tranché. En attendant, François Hollande dispose encore de quelques jours avant sa visite à Washington le 11 février afin de « clarifier la situation » entre Valérie Trierweiler et lui-même, comme il l'avait promis lors de sa conférence de presse le 14 janvier.