« Nous ne sommes pas en guerre ». Alors que leur rupture n’a été officialisée que le 25 janvier dernier, le chef de l’Etat et Valérie Trierweiler seraient tombés d’accord le week-end du 18 janvier sur les suites à donner à leur séparation, selon les informations de Paris Match. De retour de Tulle, le président de la République se serait rendu le samedi soir à la résidence de la Lanterne. « Je pense que reprendre une vie commune est difficile », aurait ainsi déclaré François Hollande ce week-end-là à celle qui était alors encore sa compagne.
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Après cette explication, la journaliste aurait contacté ses avocats. Puis, l’ex-couple se serait retrouvé pour un déjeuner le jeudi suivant dans leur ancien appartement, rue de Cauchy dans le 15e. François Hollande se serait alors engagé à payer « sur ses deniers personnels » le loyer de son ex-compagne : soit celui de la rue de Cauchy ou soit celui d’un nouveau si Valérie Trierweiler souhaitait déménager. Par ailleurs, le président devrait verser « une aide pour l’éducation de ses trois garçons ». « François veut la sécuriser. Il se montre totalement fair-play », a ainsi déclaré à Paris Match un proche.