Il est de tous les sujets. Dans le magazine Elle, Nicolas Bedos raconte une histoire inattendue : celle de son coup de cœur pour l’actrice Julie Gayet qu’il appelle - s’adressant à l’actrice dont tout le monde parle : « notre petite histoire à nous. Celle dont tout le monde se fout ».
Le trublion de la télévision serait ainsi tombé « très amoureux » de l’actrice au cinéma en 2004 en visionnant Clara et moi, une histoire d’amour que vit son personnage avec Julien Boisselier. Elle incarne alors pour Nicolas Bedos « celle qu’on rêve d’épouser mais qu’on n’a pas forcément envie de bousculer dans un lit ». Mais c’est en visionnant Lovely Rita, « film très facultatif » selon Nicolas Bedos, qu’il aurait eu une révélation : « tu engonças mon jean de brutales érections », écrit-il, poète. Julie Gayet devenant alors à ses yeux « celle qu’on rêve d’épouser dans un lit ».
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Ce n’est que des années plus tard que tous deux auront l’occasion d’en débattre après une rencontre au théâtre : « J’avais allumé des dizaines de bougies à chauffe-plat, me prenant pour Musset face à Rachel », raconte Nicolas Bedos. Julie Gayet aurait beaucoup parlé ce soir-là, se « flattant d’avoir eu des aventures avec des hommes « laids, mais sublimes ! » ». Incapable, dit-il, de faire « taire, d’un baiser, cette bouche si loquace », Nicolas Bedos lui aurait même proposé de « poursuivre (son) débat à l’horizontale dans (sa) minuscule chambre de bonne ».
Ses espoirs seront déçus, il ne se passa finalement rien ou si peu dans cette chambre de bonne. « C’est à peine si nos mains, attendries par l’approche du sommeil, s’entremêlèrent. Je ne suis donc pas en train d’écrire dans Elle que j’ai passé la nuit avec Julie Gayet : je suis en train d’écrire que je l’ai passée “à côté d’elle” ».
Dans sa lettre à « Julie G. », Nicolas Bedos revient, enfin, sur l’histoire qu’on prête à l’actrice et au président de la République. Et si le chroniqueur dit avoir espérer que « cette soudaine notoriété […] contraigne ces frileux feignasses du cinéma français à (lui) confier des rôles plus épais », selon lui, « il y a fort à parier que (sa) carrière soit terminée ». Et d’ajouter : « La politique est le poison des vedettes : qui s’y colle s’y empale ; demande à Pulvar, Sinclair, Schönberg, Genest ou Bruni ».