La renaissance ? Près d'un mois après avoir annoncé par communiqué sa séparation d'avec Valérie Trierweiler, François Hollande serait un autre homme, rapporte Paris Match. L'ancienne Première dame de France aurait entretenu, selon l'hebdomadaire, une ambiance pesante dans les couloirs de l'Élysée, et qui aurait aujourd'hui disparue. « L'atmosphère qui est moins contraignante », décrit Paris Match en se fiant à des collaborateurs de François Hollande.
Le président apprécierait notamment de pouvoir recevoir à nouveau ce que Valérie avec « blacklisté » du Palais de l'Élysée. Comme par exemple, Julien Dray. Ce proche de Ségolène Royal, ancien député de la 10e circonscription de l'Essonne, aurait été banni de la résidence présidentielle après avoir convié Dominique Strauss-Kahn à sa soirée d'anniversaire, qui tombait entre les deux tours de l'élection présidentielle. Toutefois, rapporte Julien Dray, « avec François, nos contacts et discussions ne se sont jamais interrompus », même s'il conçoit que chacune de leurs entrevues s'effectuait en cachette de Valérie.
Les enfants de François Hollande aussi sont ravis de la sérénité que leur père a retrouvée. Surtout, Thomas, Clémence, Julien et Flora peuvent désormais venir rendre visite à leur père quand bon leur semble. Ce qui était moins aisé lorsque Valérie Trierweiler était encore sa compagne. « François, qui est très attaché à eux, les appelait au téléphone. Mais pour l'Élysée, ils devaient venir tel jour à telle heure, a confié un proche. Désormais, il leur dit de passer quand ils en ont envie et, surtout, de rester dîner avec lui le plus souvent possible. »
Et s'il y a un des enfants du chef de l'État qui est particulièrement heureux du départ de Valérie Trierweiler, c'est bien Thomas Hollande. Le fils aîné du président n'a en effet jamais digéré son fameux tweet de soutien à Olivier Falorni, qui se présentait contre sa mère Ségolène Royal lors des élections législatives de juin 2012. Interrogé à l'époque par Le Point, Thomas Hollande avait reproché à Valérie d'avoir « détruit l'image normale [que son père] avait construite ». « Je savais que quelque chose pouvait venir d'elle un jour, mais pas un si gros coup. Hallucinant », avait-il déclaré.