Charlène Wittstock, princesse de Monaco, devrait sans doute mieux préparer ses déclarations à la presse lorsqu'elle veut convaincre le monde (ou au moins le Rocher), que son mariage n'est pas en train de battre de l'aile. Dans une interview parue dans Nice Matin mercredi et reprise par Telestar, l'ex championne de natation répond aux attaques « injustes » dont elle est la cible au sujet de son couple : « je n'ai pas envie d'être l'image d'une princesse de contes de fées comme certains veulent l'imaginer.» Évoquant son époux au cours du même entretien, la princesse confie : « la personne qui me donne les meilleurs conseils aujourd'hui, c'est mon mari.»
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On comprend bien le point de vue de cette trentenaire moderne : elle n'a ni l'intention ni l'envie de rester assise sur son trône en regardant passivement les JO de Sotchi, et préfère écourter l'étape russe pour flâner quelques jours à Saint Barth avec un ami, ou squatter les front raw de la fashion Week parisienne. Et tant pis pour ceux à qui ça ne plaît pas !
Pour autant, affirmer qu'on ne veut pas d'un « conte de fées », n'est-ce pas avouer implicitement que son mariage est loin d'approcher l'intensité amoureuse de l'union entre Cendrillon et le Prince ?
Et décrire son époux comme un brave conseiller du quotidien n'est-il pas un peu faiblard alors qu'on attendait simplement qu'elle crie son amour à la face des journalistes ? Plus de coeur à l'ouvrage Charlène, please !
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