« Quel meilleur moyen il y a de vendre des choses que le sexe? », explique Arthur H au début de son intervention, pour qui cette « pulsion vitale » est « extrêmement forte » chez tout un chacun. Il raconte alors une anecdote, dans laquelle il explique s’être retrouvé quatre mois en Corse « sans TV, sans aucun affichage ». Résultat: « on est moins excité, on est tranquille en fait ». Mais dès qu’il revient à Paris, il est: « assailli de… de culs, de seins… de femmes magnifiques ». Sentant probablement que son invité force (un peu trop) le trait, Frédéric Taddeï lui demande alors: « Vous en souffrez ? ». Réponse de l’intéressé: « en fait on a envie de baiser tout le monde ».
Frédéric Taddeï, le remet alors sur le rails, en lui demandant: « Mais... c'est mauvais pour la santé ? ». Arthur H tente alors de se rattraper en essayant un parallèle avec la société de consommation. Mais tous les autres intervenants prendront bien évidemment le contrepied d’Arthur H… et ont insisté sur le fait que les images à caractère sexuel ne sont pas un fait nouveau, et que les années 70-80 étaient un moment où le porno s'affichait bien davantage - jusque dans les rues de Paris. Et toc.
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