A quelques jours de la Climate Week, organisée par le WWF, l’Ifop s’est intéressé à la perception des enjeux climatiques par les populations allemande, britannique, italienne, espagnole et française. Et si le réchauffement planétaire n’inquiète que 45 % des Britanniques, les Espagnols sont 69 % dans ce cas, contre 63 % des Français.
D’ailleurs, encore traumatisés par la catastrophe Xynthia du 28 février 2010, 62 % des Français craignent les tempêtes et autres ouragans causés par le dérèglement. En Espagne, c’est la sécheresse qui est la principale source d’inquiétude.
Et lorsqu’on leur demande quels sont les acteurs qui ont un rôle dans l’augmentation des températures au niveau mondial, 96 % des Français pointent du doigt les entreprises (industries chimiques, pétrole et gaz, transports routiers et aériens). Pourtant, c’est bel et bien l’agriculture, l’industrie automobile et les activités des particuliers qui pèsent le plus dans le bilan carbone du pays.
Avec Métro
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