Cette affaire suscite de vives émotions et les tabloïds américains extrapolent l’attitude présumée de DSK envers la plaignante à tous les étrangers. Voilà comment le New York Post parle des « étrangers » séjournant à New York : «décadents», «dépravés», «malodorants».
Dans les colonnes du journal, on peut lire : «Assez, c'est assez ! Il faut se débarrasser des salauds. De l'automne à l'été, ils arrivent sur nos rives, les décadents, les dépravés, les malodorants, les cupides, les saouls, les déments», les étrangers sont « des hors-la-loi, des violeurs présumés».
Suite à l‘affaire DSK, le «New York Post» continue sur sa lancée en écrivant «Les criminels mesquins qui commettent des crimes passionnels... Ils ont un point en commun : ce sont des étrangers», «les dirigeants étrangers» et «les diplomates n'ont aucun respect pour les valeurs américaines».
Le « New York Times » qui ne verse habituellement dans la facilité a établi un parallèle entre l’affaire DSK et le cas Schwarzenegger (fils illégitime + agressions sexuelles présumées depuis des années). La journaliste Maureen Dowd estime que l’ex-governator est un «autre célèbre Européen présentant des dispositions perturbantes à l'agression sexuelle».
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