« Valérie Merkel » : c’est le nouveau surnom dont se félicite la députée UMP des Yvelines et ex-ministre Valérie Pécresse. Interrogée par l’hebdomadaire Le Point, l’élue confiait ainsi : « Je sais que l’on m’a comparée à Angela Merkel ». Revenant sur cette comparaison dans une interview sur Europe 1, elle explique : « Un certain nombre des réformes que j’expose dans mon livre (ndlr : Voulez-vous vraiment sortir de la crise ? ) sont des réformes nécessaires pour le pays mais assez dures et qui rappellent le modèle allemand, c’est-à-dire dépenser moins, travailler un peu plus, améliorer la compétitivité de la France ».
Face à elle, le journaliste Jean-Pierre Elkabbach estime que cela ne vaut peut-être pas une comparaison à la chancelière allemande. Valérie-Merkel-Pécresse se justifie alors : « Le journaliste me disait « il vous manque un grain de folie dans vos propositions » et j’ai rétorqué « est-ce que vous pensez qu’Angela Merkel a un grain de folie ? ». Il n’en fallait pas plus pour se faire surnommer Valérie Merkel. Une comparaison que la ministre, elle l’assure, accepte avec « modestie et humilité ». Avant d’affirmer : « On a besoin d’une Angela Merkel en France », et elle l’affirme, ce n’est pas forcément elle qui pourrait prendre ce rôle : « Ça peut même être un homme ».
Pécresse estime que les couches ne sont pas un sujet assez sérieux pour les papas
Pécresse et le congé parental : une sortie qui "rabaisse les femmes" pour Duflot
Valérie Pécresse tacle la politique pénale du gouvernement
Le Pen, Pécresse, Hollande et le bras d'honneur de Longuet : les petites phrases de la semaine