Top 5 des Hashtags de sa campagne
#Hollande #sécurité #PMA #Panthéon #Scootlib
Ses soutiens people
Tout au long de sa campagne, celle qui appelle à « Oser Paris » a su s’entourer de belles têtes d’affiche. Le comité de soutien d’Anne Hidalgo n’a en effet rien à envier aux plus belles réunions sur tapis rouge. La très prisée, depuis quelques mois, Julie Gayet, le si intello duo Bacri-Jaoui, la mythique Claudia Cardinale ou encore le très bobo Yvan Attal : du côté du cinéma, on se bouscule au portillon pour soutenir la candidate socialiste. Mais les grands noms de la chanson (Jacques Higelin), du théâtre (Jean-Michel Ribes) ou encore des lettres (Pascal Bruckner) ne sont pas non plus en reste. Le tout assurant évidemment une belle visibilité sur les réseaux sociaux à la candidate. Question people, Anne Hidalgo assure.
>> Lire aussi : NKM peut-elle donner un second souffle à sa campagne grâce à Twitter ? <<
Ses influenceurs positifs
@HomoSapiens
@JBMarchioni
@glaval
Qui dit campagne sur les réseaux sociaux, dit forcément bad buzz. La candidate socialiste n’y a pas échappé ces 12 derniers mois, avec son lot de critiques et de railleries sur Twitter. On se souviendra notamment de la vague de moqueries soulevée par le lancement de son affiche de campagne photoshopée à mort. Les internautes se régalent en détournant son slogan en un « Osez Photoshop » qui est massivement repris sur Twitter. Autre caillou dans la chaussure de la candidate : le cumul des mandats, que ses détracteurs n’ont pas manqué de mentionner. Le sujet ressort particulièrement sur Twitter en février, lorsque les influenceurs du Web mettent le doigt là où ça fait mal…
Ses couacs
La critique qui est la plus souvent formulée à l'encontre d'Anne Hidalgo en début de campagne : être la dauphine de Bertrand Delanoë. Une image d’héritière peu charismatique qui lui colle à la peau, et dont la candidate tente de se dépêtrer tant bien que mal. Non, elle ne se contentera pas de suivre les pas de son mentor politique ; oui, elle réussira à faire de cette campagne la sienne… Pari gagné ? Les urnes nous le diront dimanche. En attendant, dans la dernière ligne droite de sa campagne, Anne Hidalgo a eu à affronter la douloureuse et inconfortable question du Diesel, qui a émergé avec le pic de pollution à Paris et sur laquelle l’UMP s’est faite un joyeux plaisir d’insister. Le Monde parle de la « mémoire sélective » de Mme Hidalgo sur la question et les réseaux sociaux bruissent de la mauvaise foi de cette dernière, qui refuse de reconnaître avoir validé une commande de bus Diesel fin 2013. Aïe.
Ses influenceurs négatifs
@Resistance75
@HidalgoOUT
@AmendolaEmilie
Les temps forts de sa campagne sur Twitter
Twitter est sans conteste le terrain de bataille acharné des pro et anti Hidalgo. La guerre entre la candidate PS et sa principale rivale NKM aura en effet fait rage sur les réseaux sociaux. Chez Synthesio, co-réalisateur du Baromètre Terrafemina des femmes politiques sur les réseaux sociaux, on note ainsi trois temps forts de la campagne sur les derniers mois : le 29 janvier, d’abord, date du premier débat télévisé entre NKM et Hidalgo, en direct sur LCI et Europe 1. Le 2 février, Anne Hidalgo est interviewée sur BFM TV et largement relayée par ses soutiens. Enfin le 9 mars, la candidate PS et Nathalie Kosciusko-Morizet sont invitées du « Grand Jury RTL », et là aussi créent le buzz chez les twittos.
Anne Hidalgo a été mentionnée 219 456 fois sur Twitter depuis le 1er janvier 2014.
Neutre 70% ; Positif 9 % ; Négatif 21%.