Hillary Clinton regrette d'être obligée d'avoir un chauffeur© ABACA
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Hillary Clinton n'a sans doute pas gagné des points auprès des professionnels de l'automobile lorsqu'elle s'est rendue à la convention des vendeurs de voitures de la Nouvelle-Orléans. L'ex-secrétaire d'État a déclaré : « L'un de mes regrets de ma vie publique est très simple : ne pas pouvoir conduire moi-même ma voiture ». Plutôt sincère, la probable candidate à la primaire démocrate en 2015 pourrait s'attirer les sarcasmes de la population avec ce genre de sortie, dans la même veine que les réactions agacées en France lorsque nos politiques ne connaissent pas le prix d'un ticket de métro... Á sa décharge, l'épouse de Bill Clinton est contrainte par les services secrets d'avoir un chauffeur depuis 1996.
Mécano mais pas trop
Une autre anecdote a fait sourire les professionnels du milieu automobile, et pourrait donner du grain à moudre aux Républicains s'ils décidaient d'attaquer l'ex-première dame à coup de machisme éhonté : Hillary a raconté qu'en 1963, alors qu'elle était étudiante, sa voiture payée 120 dollars peinait à démarrer le matin. Croyant que le moteur se refroidissait pendant la nuit, elle avait pris l'habitude de rentrer la batterie dans sa chambre. Oups. Conseils pour les nuls en voiture et les autres : comment protéger sa voiture du froid ?