Le cerveau des tout-petits est une éponge, c’est le principal argument des partisans de l’apprentissage précoce des langues. Le ministre de l’Education Luc Chatel les a rejoints, dimanche dernier, déclarant sur Europe 1 vouloir « réinventer l’apprentissage de l’anglais » avec une initiation dès trois ans. Grâce aux nouvelles technologies et à Internet, les écoles pourraient faire appel à des professeurs à distance. Outre ceux qui préfèreraient qu’on s’inquiète de la baisse du niveau de français, certains se demandent déjà comment ils vont retenir la concentration d’un bambin de trois ans devant un écran qui parle. My teddy bear is rich !
Pour les Français massacrent l’anglais
Booster son anglais grâce au Web
Traduire son CV en anglais
Un playgroup à Hong Kong