L’augmentation incessante des divorces, la célébration des familles recomposées, pourrait laisser penser que cette rupture conjugale est aujourd’hui facile et sans conséquence psychologique. Cependant, la souffrance des enfants de divorcés demeure énorme, conclut l’Union des familles en Europe dans son enquête menée auprès d’adultes ayant vécu le divorce de leurs parents. 38 % des sondés estiment que cette décision aurait pu être évitée s’il y avait eu plus de dialogue. Dans la majorité des cas, cet événement a entraîné un changement des relations avec les parents, généralement au détriment du parent qui n’avait pas la garde : 1 adulte sur 2 déclare avoir du faire un choix affectif entre les deux parents. Cette épreuve se répercute également dans le temps, 88% des sondés affirment que la construction de leur personnalité a été marquée par la séparation de leurs parents.
Le divorce, pour le pire seulement ?
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