Il parle en dormant, elle ronfle
Difficile de passer une bonne nuit de sommeil alors que celui avec qui l’on partage notre lit ressent le besoin de s’exprimer de façon nocturne. Selon une étude commandée par Sleepy’s, une marque de matelas, 26% des personnes interrogées estiment que la pire habitude de leur partenaire est de parler pendant son sommeil. Autre nuisance sonore hautement désagréable : les ronflements, tue l’amour qui gâchent la vie de plus d’un dormeur sur cinq.
Degré de nuisance : 8/10
La solution : À part opter pour les boules Quiès, ou l’emménagement express sur le canapé du salon, malheureusement, on ne voit pas.
Un petit creux à minuit ? Nombreux sont les gourmands qui ne disent pas non à un petit encas au lit avant de sombrer dans les bras de Morphée. Et pourtant, cette vilaine habitude agace leurs partenaires, qui ne supportent pas de voir l'autre manger sous la couette. Dans la même lignée, un sondé sur cinq se dit exaspéré par les miettes dans les draps.
Degré de nuisance : 7/10
La solution : Avis aux incorrigibles gourmands du soir : optez pour un rapide snack dans la cuisine avant de vous coucher, ou bien offrez-vous un plateau pour les repas au lit.
Quel bonheur de se languir sous la couette, sans craindre la sonnerie du réveil qui nous gâche en moyenne cinq nuit sur sept. Et pourtant, Monsieur, trop pressé de commencer sa journée, renâcle à traîner au lit et à 8 heures tapantes est déjà sur le pont, prêt à en découdre. Rassurez-vous, vous n’êtes pas la seule à vous morfondre face à ce partenaire lève-tôt : 15% des personnes interrogées voient leurs grasses matinées ainsi gâchées.
Degré de nuisance : 5/10
La solution : Envoyez le lève-tôt à la boulangerie chercher le petit déjeuner, après son footing matinal. Vous gagnez de précieuses minutes de sommeil et bénéficiez du bonus croissant à la clef.
Il ne s’endort pas sans son doudou qui date de l’époque pré-glacière. À ses petits rituels d’un autre temps avant de se coucher (tasse cinq fois son oreiller, enfile son pilou, bois trois gorgées d’eau) et ne peut pas s’endormir sans un filet de lumière qui passe sous les volets ou pire, sans avoir branché une veilleuse. Oui, votre compagnon de couette en est resté au stade de l’enfance en ce qui concerne ses habitudes pour s’endormir. Et un dormeur sur dix est exaspéré par ces petites manies enfantines.
Degré de nuisance : 3/10
La solution : Accepter. Et regarder avec amour son cher et tendre s’endormir en serrant tigrou dans ses bras. Après tout, il est adorable, non ?
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