« L'enfer c'est les autres », « L'homme est un loup pour l'homme », sur la plage nous dirions plutôt que « la liberté des uns s'arrêtent où commencent celle des autres ». Malheureusement « nous sommes tous le con de quelqu'un mais mon voisin ne le sait pas. » Tour d'horizon des vacanciers à éviter cet été !
Pour une raison inconnue, certains individus se comportent comme des moutons. Peu importe que la plage ne soit pas pleine à craquer, ils viennent s’installer à 50cm de votre serviette comme si l’idée de profiter d’un moment calme loin des autres leur était insupportable. Se souciant peu de votre quiétude, ils oseront même vous demander si vous n’auriez pas une cigarette, un briquet ou un stylo à leur prêter. NEIN NEIN NEIN !
C’est un fait en partant le 15 août à la Baule, vous n’avez pas aidé votre besoin de quiétude. Si vous aviez anticipé les individus du paragraphe précédent, vous n’avez pour autant pas imaginé que chez certains le débit sonore dépassait l’entendement. « JANINE TU ME PRETE TA CREME SOLAIRE STEUPLAIIIII ??? ».
Vous trouvez qu’on abuse ? Vous avez déjà passé un après-midi sur la plage de Fréjus ? Toutes les deux minutes un vendeur ambulant passe troubler votre sieste estivale pour vous vendre quelque chose. Et quand ce n’est pas à manger, c’est le photographe de la station qui insiste pour faire une photo de votre famille. A l’étranger, c’est parfois pire. Impossible de vous reposer, un vendeur à la sauvette passe toutes les deux secondes avec les bras chargés de sac à mains et autres contrefaçons. Préférez les criques confidentielles !
Souvent âgés de moins de 15 ans, les marchands de sable se soucient assez peu d’autrui. A chaque pas, ils soulèvent un kilo de sable qui ira directement se loger sur votre serviette ou pire dans vos yeux. La tête de profil, les yeux fermés, ils secouent leur serviette dans votre direction et tant pis si vous vous prenez tout dans la figure. Santé !
Papa et maman ont acheté à cet adolescent une merveilleuse planche de surf, aventureux il attend le premier rouleau pour se laisser porter par la vague et venir s’échouer sur le sable. Sauf qu’entretemps il vous aura au choix pété un tibia à l’arrivée ou tapé la tête pendant la glisse. « Pardon M'dame… » « C’EST CA OUAIS !»
Et si tout simplement on ne partait pas en vacances ? Bon ok... on va peut-être se résigner à supporter quelques relous...