67% des Françaises avouent fantasmer sur les PDG. Ce chiffre, résultant d’une enquête menée par le site de rencontres extraconjugales Gleeden, explique pourquoi les CSP+ tendent à faire plus de rencontres sur le site que les hommes d’autres catégories moins aisées.
Comment expliquer cette attirance ? Solène Paillet, porte-parole du site, estime que les postes à responsabilités sont associés à la puissance et à l’argent. Mais si les puissants ont tant de succès, ce n’est pas uniquement parce que leurs maîtresses sont vénales, c’est aussi une question de confiance en soi : ils « se sentent mieux armés, ils savent se valoriser et beaucoup ont le sentiment que rien ne peut leur résister ». D’ailleurs, les sondées ne sont « que » 8% à déclarer courtiser le CSP+ pour son argent. Le reste cite, pêle-mêle, le fait qu’ils sont des « hommes d’exception », aux côtés desquels elles se sentent « privilégiées » (34%), ou leur assurance (26%), leur influence (21%), leur goût et leur savoir-vivre (11%)…
>> Quelle infidèle êtes-vous ? 5 signes qui montrent que vous êtes prête à le tromper <<
Le site classe ensuite ces messieurs selon leurs revenus, établissant pour chaque tranche salariale un portrait d’infidèle. Les hommes gagnant plus de 150 000 euros annuels visent les femmes plus jeunes qu’eux (10 ans de moins qu’eux dans 32% des cas), et ne se limitent pas qu’à une seule maîtresse. 64% de ceux qui visitent le site Gleeden voient trois femmes en moyenne. L’homme adultère gagnant entre 70 000 et 150 000 euros par an passe quant à lui rapidement à l’acte : 38% des hommes correspondant à cette tranche salariale passent à l’acte moins d’une semaine après un premier contact. Enfin, s’il gagne entre 30 000 et 70 000 euros par mois, l’infidèle se révèle collectionneur et multiplie les conquêtes : 7 rendez-vous mensuels en moyenne.