Voilà un accessoire ingénieux qui vous permettra d’être ivre morte en vous tétant vous-même. Le « wine rack flask bra » [le soutien-gorge « cave à vin »] proposé sur l’eshop papabert est sans doute l’objet le moins classe jamais inventé. Il s’agit d’un soutif dans lequel vous glissez une poche pouvant contenir l’équivalent de deux bières, une bouteille de vin ou vingt shots, reliée à un tube que vous pouvez suçoter discrètement. Non seulement « vous économisez sur les boissons en soirée », vante le site, mais le soutien-gorge « cave à vin » vous fait en sus « gagner une taille de bonnet ». Wow. Prix : 29,95 dollars.
Encore plus glamour, la ligne de sous-vêtements Shreddies du designer britannique Paul O’Leary absorbe l’odeur des pets grâce à une matière inédite à base de carbone, le Zorflex. Ne vous fiez pas à la banale apparence de ces culottes à la coupe sage et de ces caleçons sobres, ces derniers seraient capables de neutraliser des odeurs 200 fois plus fortes qu’un pet lambda. Durée de vie de la lingerie anti-flatulences : deux à trois ans. Prix : 24 pounds le boxer et 19 pounds la culotte. Intéressé ?
La filiale brésilienne d’Huggies a, elle, eu la brillante idée de créer une application « couche connectée ». Grâce à elle, les mamans peuvent être prévenues en temps réel que la couche de leur progéniture est mouillée/remplie. Le principe est simple comme bonjour : un capteur à l’effigie du piaf Twitter (tellement cute) et émettant sans doute force ondes est placé dans la couche du bambin et reliée par Bluetooth au smartphone de sa chère maman. In-dis-pen-sable.
Inventée par deux Américaines zélées pour que les femmes « puissent avoir l'esprit tranquille » en sortant en boîte, en faisant leur jogging ou bien en allant voyager dans des pays qui ne leurs sont pas familiers, la culotte cadenassée a quelque peu agacé les féministes, un brin choquées par le ton frivole de la campagne de pub vantant les mérite de ces AR Wear (Anti Rape Wear) et par les clichés qu'elle véhicule sur le viol. Hé non, le violeur-type n’est pas un inconnu rencontré au coin d’un bois ou dans un lieu inconnu. Dans 80% des cas, les victimes de viol connaissent leur agresseur. Concept et campagne de communication à revoir.
Le premier "slip qui sent bon" le made in France
Un soutien-gorge tweete contre le cancer du sein - vidéo
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Soutien-gorge, string : ces dessous dangereux ou inutiles qu'il faudrait bannir