Sur la carte mondiale des tailles de pénis (car elle existe, si, et recense les tailles dans 121 pays), on constate de sérieuses disproportions. D’un côté du spectre, les Coréens (nord et sud), qui ont les plus petits pénis du monde (9,66 cm en moyenne), de l’autre les Congolais (17,6 cm), mais les chiffres, sans être surprenants, sont à prendre avec des pincettes, puisque ce sont les participants qui mesurent eux-mêmes la taille de leur pénis.
A partir de cette carte, les économistes du centre d'Helsinki ont cherché à savoir s’il pouvait y avoir un schéma pour expliquer le fonctionnement de la croissance, non pas du pénis, mais de l’économie. En cherchant bien et en utilisant le modèle de Solow (économiste du XXème siècle) qui fait un lien entre l’épargne, la croissance démographique et les revenus pour expliquer les disparités entre pays riches et pays pauvres, ils ont trouvé que 15% de la variation des revenus dans le monde pouvait être expliqué par la taille du pénis. La taille idéale d’un pénis pour le développement d’un pays est de 13,5 cm en moyenne. En dessus comme en dessous, rien ne va plus. Voilà pourquoi l’Asie et l’Afrique sont les continents les plus pauvres.
Tatu Westling, l’auteur de cette étude, va plus loin : la taille du pénis a une importance égale à celle du régime politique d’un pays.
Si d’autres économistes ont mis en avant la relative efficacité du modèle de Solow qui peut ressortir tout et n’importe quoi à partir de n’importe quelles données, on s’étonnera, nous, de voir qu’en 2011 les économistes pensent encore que les femmes comptent pour du beurre, tout en leur rappelant gentiment que ce qui compte en matière de pénis n’a jamais été la taille mais l'efficacité.
Comme disait ma mère, il vaut mieux une petite efficace qu'une grande mollasse.
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