Elle est la « Révélation télé de l'année 2013 », clashe tout le monde à tout va, en énerve plus d’un et fait le buzz toutes les semaines. Dernière révélation en date d’Enora Malagré : la chroniqueuse de « Touche pas à mon poste » faisait partie dans sa jeunesse d’un « gang » de délinquants qui brûlait des voitures, taguait partout et frappait des gens. C’est du moins ce qu’elle a confié à Tecknikart qui publiait cette semaine un portrait de la jeune femme intitulé « Enora Malagré, la vengeance d'une intello-pouffe » :
« Je foutais vraiment trop le bordel, alors ils m'avaient demandé de partir de la fac, j'étais à Saint-Quentin-en-Yvelines, je redoublais ma première année de droit. J'étais trop délinquante, trop rebelle, pas très maligne. Je suis passée à côté de mes études. Genre brûler des voitures, taguer partout, frapper des gens. Genre mauvais souvenir. Pathétique. »
Après avoir sans douté réalisé que faire étalage d’un passé violent n’était pas la meilleure façon de donner le bon exemple à son (jeune) public, Enora Malagré a ensuite fait machine arrière en affirmant dans son émission « Enora le soir » que tout ceci n’était qu’une blague. Et l’animatrice de s’esclaffer bruyamment que la presse ait cru à sa « vanne ».
J'ai fait partie d'un gang ? Mais non, c'était évidams une blague !!! Mon seul gang c'est #EnoraLeGang. J'vous aime! pic.twitter.com/6Aig7yPcWz
— Enora Malagré (@EnoraMofficiel) 11 Décembre 2013