Cela fait près de 30 ans que Jean-Marie Gourio sillonne la France, armé d’un stylo, à la recherche de ces petites perles, dont il a consacré l’expression de «Brèves de Comptoir». Les premières, il les publiait en effet dans la revue satirique Hara-Kiri en 1985, pour ne plus jamais s’arrêter depuis. Selon Jean-Marie Gourio, la brève de comptoir est «un avis amusant au comptoir d’un café». Ses qualités? «Percutant», «rapide», et à même d’embarquer «tout le public». Un «petit missile» comme il l’expliquait lui-même pour la sortie de son recueil sur RTL ce jeudi 21 novembre.
Parmi ces morceaux choisis de vie quotidienne, on trouve : « Au moins quand tu peins le plafond, personne ne marche avant que ça ne soit sec! », « Le travail, c'est une maladie, d'ailleurs y'a même une médecine pour ça », ou encore: « Le bébé éprouvette, il est même pas né qu'il y a déjà de la vaisselle ». Le grand café des brèves de comptoir est publié chez Robert Laffont, et disponible dans toutes les librairies, au prix conseillé de 23 euros.