Alors que Nabilla est toujours en attente de son procès pour tentative de meurtre sur Thomas Vergara, les galères continuent pour la star de télé-réalité. En effet, ce serait maintenant au tour de son ancien manager, Michaël Bizet, de l'attaquer. Selon le site Star 24, Nabilla aurait à rembourser pas moins de 35 000 euros pour des apparitions à des événements auxquels elle n'a pas pu assister en raison de son incarcération du 13 novembre au 18 décembre 2014 à la maison d'arrêt de Versailles. Ces "prestations" avaient été payées à l'avance à hauteur de 50 % quelques mois avant l'emprisonnement de Nabilla. Star 24 précise : « 4 jours après sa sortie, Nabilla Benattia et son manager se sont rencontrés pour essayer de trouver comment régler ce problème et c’est à ce moment là que tout a basculé. Selon nos informations, son bookeur lui aurait proposé plusieurs solutions, à savoir : négocier le report de ses booking à une date ultérieure avec les clubs ou bien leur remboursement échelonné. »
Sauf qu'après cette réunion de crise, Nabilla aurait coupé tout contact avec Michaël Bizet, ne répondant à aucun de ses appels et changeant même deux fois de numéro de téléphone. L'avocat de la starlette ferait lui aussi la sourde oreille. Face à l'urgence de la situation, le manager aurait donc décidé d'entamer une procédure à l'encontre de Nabilla il y a une quinzaine de jours.
Le manager s'est exprimé sur Twitter à propos de cette affaire : « Je parlerais du différent entre @leonnaboo et moi même en temps voulu Merci ... Team nabilla g un profond respect pour vous !!! No stress »
Michaël Bizet ira-t-il jusqu'au bout ou Nabilla reprendra-t-elle contact avec lui ? Rappelons que la bimbo est sortie de prison le 18 décembre dernier et que depuis, elle est sous surveillance judiciaire, avec l'interdiction d'évoquer le dossier ou de rentrer en contact avec Thomas Vergara, restrictions que Nabilla aurait outrepassées, puisqu'on la soupçonne d'avoir revu Thomas en cachette à Genève début janvier et de communiquer avec son ex par codes secrets sur Twitter.