Après s’être penchée sur la rupture familiale, Nathalie Rheims, actrice, productrice et auteur français s’apprête à publier, ce jeudi, aux éditions Michel Lafon, son dernier ouvrage baptisé Le Père Lachaise, jardin des ombres. À cette occasion, la quinquagénaire a accordé un long entretien à Gala. Elle y retrace sa vie, parlant notamment de son enfance, de ses sources d’inspiration, des hommes de sa vie et de sa vision de l’amour. « La dépendance, il n’y a rien de plus toxique. Je n’ai jamais cherché à entraver l’autre, encore moins à me venger », assure-t-elle.
D’ailleurs, s’agissant de vengeance, celle qui fut la dernière compagne de Claude Berri n’hésite pas critiquer une autre personnalité française : l’ex-première dame. « J’ai lu le livre de Valérie Trierweiler comme si je m’approchais d’Hannibal Lecter. Avec autant de fascination que de terreur. Elle m’a scotchée. Je me suis dit : " Ben ma vielle, t’es gonflée !" Elle a envoyée toute l’autofiction française au tapis. À côté d’elle, Marcella Iacub et Christine Angot, dont j’admire pourtant le talent, sont des petites joueuses. » Outre l’audace de l’auteur de Merci pour ce moment, Nathalie Rheims ne cache pas sa perplexité quant à la passivité du président de la République. « Je trouve incroyable que François Hollande, avec sa "boîte à outils", n’ait pas su désamorcer la bombe », signale-t-elle.