Quand il s'agit d'améliorer nos expériences sexuelles, les techniques ne manquent pas. De l'astuce du coussin à celle de l'estomac, en passant par la pénétration immobile, il existe des tonnes de façons de rendre nos ébats plus excitants en deux temps, trois mouvements. Dernière pratique en date qui améliorerait clairement le coït : la pénétration par aspiration (ou succion, selon les écoles) en opposition à la pénétration classique, dite par "friction".
Attention, comme le précise le magazine Elle, ce procédé n'a rien à voir avec la sensation provoquée par l'aspirateur clitoridien. Si le sextoy fonctionne aussi grâce à un mécanisme de succion, il se concentre toutefois sur la zone du clitoris. Voici le mode d'emploi pour une pénétration par aspiration réussie, et un voyage au septième ciel garanti.
Dans une vidéo publiée sur Instagram (voir ci-dessus), le média Kama, qui traite du plaisir et de la santé sexuelle, développe : "Nous pensons souvent que la pénétration est un acte unidirectionnel, avec une seule personne qui entre et sort. Cela signifie également qu'une personne est active, tandis que l'autre est plutôt passive. Recadrer la pénétration comme une action à double sens est l'un des changements les plus efficaces que l'on puisse faire, surtout si vous n'aimez pas tellement [cette pratique]."
La clé pour y arriver ? Utiliser son périnée. La personne pénétrée le contracte, puis le relâche afin de faire ressentir à l'autre cette sensation orgasmique autour de son pénis, et accroître drastiquement son propre plaisir.
Ensuite, un peu de gym.
"Vous allez utiliser vos hanches pour faire des cercles par petites impulsions", décrit Aaron, coach en sexualité, dans la séquence. "Mais l'important, c'est de rechercher cette sensation d'aspiration entre vous et le corps de l'autre personne et de ne pas se retirer trop loin pour ne pas briser cette aspiration." Voire, de ne pas se retirer tout court. "Cela va donner beaucoup plus de plaisir à 360 degrés autour de votre pénis, mais aussi à l'intérieur de votre partenaire".
Alors, tenté·e ?