« Moi j’y crois au bicamérisme », lance Marie-Noëlle Lienemann à Thierry Ardisson. Cette petite phrase de Marie-Noëlle Lienemann a particulièrement rendu Nabilla perplexe. Le reste de son discours aussi, d’ailleurs. Celle dont Ardisson a dit un peu plus tôt qu’elle était « connue pour deux raisons, [ses] deux seins », semblait bouder le regard perdu dans le vide, lors de l’intervention de la Sénatrice de Paris. Celle-ci expliquait pourtant avec des mots contenus dans le dictionnaire pourquoi elle n’était pas pour la disparition du Sénat.
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Puis Ardisson demande à Nabilla son point de vue sur la politique. On se doute d’avance de sa réponse: rien. Elle affirme devant plusieurs millions de téléspectateurs qu’elle n’a pas compris un mot de l’intervention de Lienemann. Cette dernière prend le problème au sérieux, et relève qu’il y a un vrai fossé entre la jeunesse et les politiques. Un écart qui était comblé dans sa jeunesse par l’« éducation populaire », organisé par certaines organisations politiques. Nabilla rebondit sur des point de vocabulaire - les mots utilisés sont selon-elle trop compliqués. Ardisson lui demande quels sont les mots qu’elle a trouvé les plus obscurs, et lui demande ce qu’elle pense de « bicamérisme ». Et là, c’est le drame: Nabilla fait du Nabilla pur jus, en disant « bicarbonate ». La vidéo (avancer à 10:40):