Toutes la presse s’étaient fait les gorges chaudes de cette histoire, les fidèles compagnons de route de l’usine Renault avaient fauté en « vendant » des renseignements précieux. Tout avait commencé par une lettre anonyme dénonçant un des cadres qui, d’après le corbeau, aurait évoqué des détails sur les prototypes de la Formule 1.
D’autres personnes étaient impliquées, et il en a résulté des licenciement de trois principaux responsables. Le corbeau expliquait (s’excusant de le faire ainsi) qu’il avait été témoin de conversations par des membre de la direction et il s’avère que tout était faux. On apprend en effet ce matin qu’il n’existait pas de comptes en Suisse, pas de fuites non plus, rien n’est parti des bureaux. Et, qu'il s'agisse de la prochaine voiture électrique ou de la Formule 1, la lettre anonyme et tout ce tapage a été fait pour rien car aucune preuve ne vient étayer la lettre anonyme qu’a reçu l’entreprise.
Après enquête , on s’aperçoit que tout ceci était faux et que les cadres incriminés n’ont rien à se reprocher... Est-ce juste une histoire montée en épingle pour régler des compte internes, ou une simple vengeance d’un mécontent visant à déstabiliser l’entreprises ou ses cadres ? Peut-être que l’enquête qui se poursuit nous en dira plus. Mais Michel Balthazard sera-t-il réhabilité ? Tout n’est pas terminé…