« Je voulais que s'ils m'attaquent en justice, ils se retrouvent face à 'Mark Zuckerberg. Et si seul Mark Zuckerberg a le droit de vendre des fonctions 'like', alors je suis Mark Zuckerberg » explique l’entrepreneur qui avait été en contentieux judiciaire l’année dernière avec le réseau social Facebook.
En cause ? Le fait qu’il vendait à ses client des « J’aime » sur leurs profils Facebook afin de faire monter leur notoriété. Ce qui est évidemment interdit. Mais ce n’est pas tout puisque Rotem Guez reproche aussi à Zuckerberg de n’avoir pas activé son profil après que celui-ci ait été piraté en début d’année 2011.
Pour se faire entendre, l’israélien a donc décidé de faire face au vrai Zuckerberg lors d’un procès. Certains ont de la suite dans les idées quand il s’agit de défendre leurs intérêts.
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