Les confidences de Simone Ashley sur les scènes de sexe dans la saison 2 de "Bridgerton"

Les adeptes qui ont déjà binge-watché la saison 2 de La Chronique des Bridgerton sur Netflix le savent : cette année, il faut faire preuve de patience avant de voir les personnages se rapprocher physiquement. Les scènes torrides entre Kate Sharma (Simone Ashley) et Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey) n'ont pas lieu avant le 7e épisode de la série, mais croyez-nous, ça vaut le coup.

A ce sujet, l'actrice principale de ce deuxième volet s'est confiée sur leur déroulement dans une interview pour TV Line. Simone Ashley affirme ainsi qu'elle n'a que des bons souvenirs de ces séquences hot, principalement grâce à l'intervention d'une coordinatrice d'intimité - une fonction qui s'est démocratisée sur les plateau de tournage depuis l'affaire Harvey Weinstein.

"Notre coordinatrice Lizzy Talbot était incroyable", se souvient l'actrice britannique. "Elle nous a permis de bien préparer les scènes en amont pour qu'il n'y ait aucune surprise le jour même. C'est comme une danse. Il y a également une intention derrière ces scènes. Tout est chorégraphié, mais sans que cela sonne faux. Je me suis sentie confortable, en confiance et en sécurité."

Au-delà du professionnalisme de la coordinatrice Lizzy Talbot (qui explique à W Magazine que communiquer sur ce que les acteur·rices veulent ou, peut-être plus important encore, ne veulent pas, est au coeur de son métier), c'est sa relation avec son partenaire à l'écran qui a rendu le tournage de ces scènes de sexe d'autant plus faciles.

"C'était super de travailler avec Jonathan [Bailey]", poursuit Simone Ashley. "Nous avons un lien spécial, c'est un comédien généreux et une personne avec qui j'ai une très bonne alchimie à chaque fois. C'est un cadeau pour un acteur, c'est comme une partie de ping-pong entre nous. On était heureux de donner vie à cette histoire et de se plonger dedans. J'espère que le public le ressent."

A croire les réactions des fans quant à l'alchimie du duo dans la série, rebaptisé "Kanthony" par certain·es, c'est en tout cas très réussi.