Ce vendredi 29 octobre, la star performera, comme les semaines précédentes, aux bras de son partenaire de danse, Christophe Licata. A bientôt 50 ans, si Dita Von Teese reste un modèle de glamour pour nombreux·se·s, loin d'elle l'idée de s'enfermer dans une vision traditionnelle de la féminité. Elle s'est d'ailleurs plusieurs fois exprimée au sujet de la maternité, qu'elle estime ne pas lui correspondre.
La première fois lorsqu'elle était mariée à Marilyn Manson, en 2007. "J'ai pensé : 'je suis amoureuse et je vais passer le reste de ma vie avec cet homme'. Je n'ai pas besoin d'avoir d'enfants, je vais me consacrer à lui'", confiait-elle alors à The Independent. "Je me suis mariée à quelqu'un qui n'était pas prêt à être père. Il pouvait à peine prendre soin de lui-même, et encore moins d'un enfant, alors je me suis adaptée en me disant : 'C'est OK de ne pas en avoir.'"
Et d'ajouter, en paix avec cette décision et taclant quelques stéréotypes au passage : "Je vais simplement voir comment ma vie se déroule, voir ce qui m'arrive. Je n'en suis pas moins femme."
Autre facteur à avoir fait pencher la balance : la façon dont les réseaux sociaux peuvent impacter négativement la vie des enfants et ados. "Je pense que c'est un problème. C'est probablement l'une des raisons pour lesquelles j'ai décidé de ne pas avoir d'enfants – par peur de la façon dont ces choses se déroulent", expliquait-elle dans un entretien pour le Sun, en 2018.
Et d'épingler une dérive bien réelle qui affecte la sexualité de chacun·e. "Les gens évoluent différemment et la façon dont les jeunes sont façonnés peut être déconcertante. Auparavant, c'était voler un Playboy sous le lit, maintenant les jeunes ont accès à toute cette pornographie et cela façonne leur perception du sexe."
Toutefois, elle ne s'impose aucune limite, et il se pourrait bien qu'elle change d'avis. En ce mois d'octobre, Dita Von Teese a ainsi confié, encore au Sun, ne pas exclure une maternité d'ici quelques années. "Je pense qu'il n'y a rien de mal à ce que les gens se retirent de la parentalité. Il y a tellement de pression", constate-t-elle. "Mais qui sait ? Peut-être que je vais adopter un bébé ou avoir un bébé d'une manière ou d'une autre, comme d'autres personnes qui le font à la cinquantaine."
Une chose est sûre, la légèreté et la liberté avec laquelle elle évoque ce sujet à de quoi inspirer.