Les papilles ne goûtent pas le bruit
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Tester différents aliments les yeux bandés avec des fonds sonores différents et plus ou moins forts, c’est l’expérience qui a permis de déduire que notre appréciation du goût se modifie avec ce qui frappe notre oreille. Ainsi, la sensation de fadeur des repas servis à bord des avions de ligne proviendrait du vrombissement des moteurs. A l’inverse, des sons agréables diffusés dans un restaurant permettraient de mieux en apprécier la cuisine. Le volume, plus ou moins fort, aurait aussi une incidence sur notre perception du sucré et du salé.
Françoise Aveline
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