C'est l'animateur incontournable du Paf. À la télévision avec « 50 Minutes Inside », « C'est Canteloup » et la saison 3 de « The Voice » qui bat son plein sur TF1, mais aussi à la radio avec « Les Incontournables » sur Europe 1, Nikos Aliagas est partout. Et malgré un emploi du temps surchargé l'animateur a pris le temps d'accorder une interview à nos confrères de TV Magazine. L'occasion de parler de son métier, de son addiction à Twitter et de son nouveau rôle de père de famille.
En effet, interrogé sur les rumeurs de grossesse de Jenifer, juré du télé-crochet de TF1, Nikos Aliagas préfère éluder la question. « Le premier bébé "The Voice", c'était ma fille, Agathe ! Lorsqu'elle est née (le 22 novembre dernier, ndlr.), le matin j'étais à l'accouchement et le soir même j'enregistrais "The Voice". Agathe n'a que 15 mois et c'est l'amour de ma vie. Elle m'a eu, je suis foutu ! Elle parle grec, français, anglais. Le haut de son visage c'est moi, le bas c'est sa mère. J'aime la réveiller, la coucher, lui donner le biberon. C'est ma plus belle réussite », raconte-t-il. Et d'ajouter, revenant aux rumeurs sur l'état de l'interprète de J'attends l'amour : « En tout cas, je souhaite à Jenifer le meilleur, l'harmonie qu'elle mérite dans sa vie personnelle. Et qu'on la laisse un peu tranquille. »
Concernant sa profession et son omniprésence sur La Une, l'animateur d'origine grecque a avoué apprécier l'exercice du direct autant qu'il le craint. « Ce que j'aime dans "The Voice" c'est que ma présence y est progressive. Au début, je suis là, avec les familles, en coulisses, j'ouvre l'émission, je la clos, je commente, mais je ne suis pas tout à fait dans le rôle de l'animateur classique. Je suis surtout là pour accompagner. Mon rôle est de mettre en avant les talents et les coachs, pas moi. Et ça m'arrange, car, lorsqu'on est animateur, l'image s'use très vite si on te voit trop ». Et pour s'assurer du maintien de sa popularité et de celles des émissions dont il est aux commandes, Nikos Aliags a toujours un œil sur les réseaux sociaux. « Twitter fait partie de mon travail. J'aime lire en direct les réactions des gens quand ils regardent "C'est Canteloup" par exemple. Le samedi soir, je tweete en live pendant "The Voice" alors que je pourrais dîner tranquille, mais je veux le faire », explique-t-il. « C'est addictif, c'est vrai, mais, quand je rentre chez moi, j'essaie de mettre de côté le téléphone, ne serait-ce que pour le recharger ! Plus sérieusement, je fais attention à ne pas être accroché frénétiquement aux réseaux sociaux. Je fais la part des choses et je n'ai jamais tweeté de photos personnelles ».