C'est ainsi que les rêves se brisent. Comme ça, en une seconde, sans qu'on l'ait vu venir. En pleine tournée promotionnelle de la toute nouvelle série "Star Wars : Skeleton Crew", Jude Law est partout dans la presse en ce moment. C'est ainsi qu'on l'a trouvé en couverture du GQ anglais, arborant d'ailleurs une chevelure dont les internautes se sont étonnés. Le 22 novembre, l'acteur était l'invité du podcast Friends Around Friday, animé par Zoe Ball. C'est là qu'il a fait des révélations inattendues et dévastatrices -n'ayons pas peur des mots- sur le film The Holiday.
Pour rappel, The Holiday est sur la liste des films incontournables en matière de comédies romantiques ET de films de Noël, ex aequo avec Love Actually. Sorti en 2006, le film met à l'écran Jude Law mais aussi Cameron Diaz, Kate Winslet et Jack Black. Rien que ça. Cameron Diaz dont on vous annonçait d'ailleurs le retour sur les écrans, en janvier 2025, dans un film d'action Netflix. Un retour qui lui d'ailleurs valu des commentaires âgistes et sexistes.
Bref, The Holiday est un film culte, un film qui nous réchauffe le cœur quand il neige dehors et qu'on adore revoir. Et ce qu'on adore revoir aussi, c'est la maison dans laquelle se déroule l'histoire d'amour entre Jude Law et Cameron Diaz. Un cottage typique de la campagne anglaise, petit mais tout mignon, où l'on se réchauffe sous les couettes, au coin du feu, et où Jude Law tombe amoureux de nous accessoirement. Et c'est CELA que l'acteur vient de briser.
"Peut-on louer ce cottage sur Airbnb ?", a demandé l'actrice Kerry Godliman, invitée du podcast Friends Around Friday en même temps que Jude Law. "Ce cottage n'existe pas", a répondu l'acteur sans ménagement. "La réalisatrice, qui est un peu perfectionniste, a sillonné cette zone et n'a pas tout à fait trouvé la maison enchanteresse qu'elle cherchait, explique le Britannique. Elle a donc juste loué un terrain, dessiné la maison et l'a faite construire." Jusqu'ici, plus de peur que de mal. Mais le pire reste à venir.
"Nous tournions là-bas en hiver, mais à chaque scène où je passais la porte, on coupait pour tourner les scènes d'intérieur à Los Angeles trois mois plus tard", révèle encore Jude Law. Et là, on entend tomber les débris du rêve brisé en mille morceaux. Pas de baiser au coin du feu de ce cottage, pas de répliques aussi maladroites qu'émouvantes sous ses magnifiques poutres en bois... Il ne manquerait plus que le père Noël n'existe pas.