Le titre de la série est un mot-valise formé à partir de « suburb » et de « pugatory » (banlieue et purgatoire) et plante bien le décor. Le pitch : Tessa, 15 ans, est une adolescente rebelle contrainte à déménager avec son père dans une banlieue huppée remplie de mères de famille siliconées, de lycéennes stupides et de pelouses taillées au millimètre (ambiance « Desperate Housewives », en pire). Voici trois raisons de regarder « Suburgatory » dont le premier épisode sera diffusé ce jeudi 24 avril à 20h50 sur HD1.
Neuf millions de téléspectateurs ont regardé la saison 1 de la série aux États-Unis. On imagine qu’ils n’étaient pas passionnés pas les aventures de Tessa pour rien.
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Elle est lucide, insolente, cynique et du coup terriblement sympathique. On aime Tessa (Jane Levy, vue notamment dans Shameless), l’héroïne de la série qui tombe comme un cheveu sur la soupe dans cette banlieue chic et décortique avec génie toutes les coutumes absurdes qui la régissent.
Le portrait à charge contre Chatswin, la banlieue huppée surnommée « Suburgatory » par Tessa est savoureux. Les personnages qui la peuplent également, Dallas Royce (une mère de famille horrifiante) et sa fille Dalia Royce en tête.
La bande-annonce de « Suburgatory »